J’A-DO-RE la lingerie fine. Pour moi, c’est l’arsenal ultime de la féminité. Une arme secrète et discrète, mais qui augmente la confiance en soi et l’assurance.
Vous comprendrez donc le spleen qui s’empare de moi à l’idée de magasiner un soutien-gorge d’allaitement. Cette corvée est pour moi synonyme des mots suivants : restrictif et beige. C’est vrai! Partout où l’on en propose aux femmes enceintes, j’ai l’impression qu’il n’y a que deux modèles, très peu flatteurs, offerts en trois couleurs – blanc, beige et noir – et je suis chanceuse si la boutique a ma taille de bonnet en réserve.
Mère Hélène m’a prouvé le contraire ! Mon expérience de magasinage s’est avérée une véritable partie de plaisir et je suis allée de surprise en surprise.
Premier étonnement : Il faut se procurer nos soutiens-gorge d’allaitement au cours du troisième trimestre. Je croyais, à tort, qu’il valait mieux attendre la montée laiteuse pour choisir la taille de dessous appropriée. Même si votre poitrine prend du volume après l’accouchement, la production de lait se régularisera rapidement et votre sein retrouvera sensiblement la même grosseur qu’en fin de grossesse. Il était donc temps que je passe en boutique.
Deuxième surprise : Le choix de couleurs et modèles. J’ai passé près d’une heure trente en cabine, car au pays du soutien-gorge d’allaitement, l’essayage est roi! Chaque modèle offre des caractéristiques différentes. Rien de tel que de bénéficier de l’expertise des conseillères de Mère Hélène pour vous orienter. Certains modèles conviennent bien au port de nuit pour maintenir les compresses d’allaitement en place et assurer un support de base aux seins douloureux, d’autres offrent un maintien supérieur qui rendra même vos séances d’entraînement confortables et finalement – ceux que j’ai préférés – il y a ces petits bijoux qui semblent sortis tout droit d’une boutique de lingerie régulière avec leurs détails féminins, leur design qui galbe délicieusement le sein et le confort qu’ils proposent.
Troisième apprentissage : Ça vaut la peine de faire l’acquisition de trois soutiens-gorge minimum. Dans les premières semaines d’allaitement, on portera nos précieux dessous 24h/24. Avec trois articles, il y a moyen d’effectuer une rotation permettant de se garder au sec et de laver nos articles de lingerie. On m’a donc suggéré d’opter pour le modèle que je trouve le plus confortable pour la nuit, d’y ajouter une camisole avec soutien-gorge intégré – un must pour apprivoiser l’allaitement sans être empêtrée dans ses vêtements – et de me gâter avec un soutien-gorge « de sortie ».
J’ai porté rapidement mon choix vers un soutien-gorge créé par Cake Lingerie. Je ne connaissais pas cette marque, mais leurs produits sont les plus jolis dans le département des dessous d’allaitement. Imaginez, mon nouveau soutien-gorge d’allaitement peut même être porté en licou. Je n’y croyais pas! Au dos, 6 rangées de trois agrafes permettent d’ajuster le vêtement à merveille au fur et à mesure que l’on perd du poids dans les mois qui suivent l’accouchement. Ma fille de 4 ans, pour sa part, a été charmée par le motif floral qui se dévoile lorsqu’on dégrafe le soutien-gorge pour allaiter. La conception donne l’impression que ce modèle possède une armature, mais il n’en est rien : c’est le confort ultime!
J’ai hâte de présenter mes achats à mon chum. Avec d’aussi jolis dessous, allez savoir si on n’agrandira pas encore la famille l’an prochain…
Merci, Mère Hélène!
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